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Alain Lasverne.

Alain Lasverne.

petits pas, obstinations diverses


Dentiste ébréché Dentiste ébréché sentiments ciblent zéro vacance errance distance la propriété des sensations s’évanouit images mirage naufrage l’amour de la vie s’écoute parler monotone sonotone aphone le sexe des images excite mon image reflet réflexe rature Lire la suite
....peux plus liker ....peux plus liker elle est si bien verte ses images si naturalisées ses fleurs si fugaces ses larves si fragiles ses mots si bien relachés a-do-rable il faut ab-so-lu-ment un paradis clôturé d'orties sau-vages pour accueillir cette âme en pot de terre bio s'il vous plaît... Lire la suite
Marée basse Marée basse donner congé au temps supprimer l’ambition de toute urgence laisser aller le temps comme on laisse son corps aller à l’eau le soir venu graviter au son des vagues qui comptent lentement le sable et les pas qui osent j’avance en zone libre mes bras cherchent... Lire la suite
Sensibles sons - Le monde comme représentation Sensibles sons - Le monde comme représentation paroles alentours bruits de vaisselle un repas s’assemble s’ensemble la fête des gens c’est d’être avec les gens à travers leurs voix revient la vie toujours qui chasse ma nuit ---------------------- dans un bocal jeté par une main d’enfant une mouche... Lire la suite
Trace persistante Trace persistante la poésie est ce qui passe à travers les mots comme l’eau à travers le sable le sable est ramené à sa vérité l’eau eh bien elle passe nous laisse assoiffés Lire la suite
Qui fait route Qui fait route un paquebot GNV s’en va sa masse luminescente éteint la nuit au bout du monde il va au bout du monde il est à quai j’écoute les mouettes d’un coup d’aile elles ignorent mon trouble devant le monde si ouvert si fermé Lire la suite
Existant au-delà Existant au-delà je n’ai qu’une jambe un bras artificiel un seul œil illuminé j’entends je vois je crois toute perfection là où je suis inviolé par les initiales argentées du monde tout être est mon double sans jamais pouvoir marcher droit je cours à côté de toute vie... Lire la suite
Les signes de sang sous les chairs Les signes de sang sous les chairs j’ai cassé une phrase de fleurs le pupitre proposé ne me chantait pas j’ai la nuit j’ai l’ennui j’ai la pluie j’ai la peur j’ai condamné une fenêtre mal fermée l’espace noir ne m’illuminait plus on tire on tue au milieu de moi quels mots qui ne soit pas... Lire la suite
Plutôt que le silence Plutôt que le silence les jeunes poètes n’écrivent jamais je dans le champ de mes parents (adoptifs) tout petit tout tordu un pommier fabriquait chaque année ses enfants de peine dans la gorge de ma mère il y avait toujours l’enfant véritable jamais eu quelque chose vit dehors... Lire la suite
En revue En revue La revue Libre mots, de Eric Dubois et Pierre Kobel, a bien voulu publier un de mes poèmes, avec ceux des 33 participants à cette expression poétique. Texte issu d'une série, "Antrhopocène final" sur nos destinées à l'heure des machines omniprésentes... Lire la suite
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