petits pas, obstinations diverses
Il y a l’immense foule des mots qui s’en va dans l’innommé et peut-être nous-même qui ne sommes plus vraiment dans le réel, comme des caricatures ou des fantômes regardant ce qu’ils furent s’éloigner. Caricréature, série comme une dénonciation, un exorcisme... uelle...
Il y a l’immense foule des mots qui s’en va dans l’innommé et peut-être nous-même qui ne sommes plus vraiment dans le réel, comme des caricatures ou des fantômes regardant ce qu’ils furent s’éloigner. Caricréature, série comme une dénonciation, un exorcisme...
L’homo poeticus indique notre nature. Destinés à rêver, destinés à créer, destinés à aimer et à craindre, destinés à hanter le temps imparti et mourir enfin. e fais des sentiments avec des mots je fais des paysages avec des mots je fais des ancêtres avec...
Par des voix sinueuses, allégoriques et symboliques un refus, une désertion, une lumière portée sur le monde où nous sommes jetés. C'est Volte en ré .. c r oyez-le nous sortirons dans la lumière nus enfin toujours nus le parfum des mêmes ptérodactyles...
.. et peut-être nous-même qui ne sommes plus vraiment dans le réel, comme des caricatures ou des fantômes regardant ce qu’ils furent s’éloigner, étonnés de rester dans le temps, décidés peut-être à tenir quelque chose comme une dernière chance. Caricréature llume...
L’homo poeticus indique notre nature. Destinés à rêver, destinés à créer, destinés à aimer et à craindre, destinés à hanter le temps imparti et mourir enfin. ’aimerais écrire sur les choses vraies la pierre les choses justes l’acier être à l’équerre être...
Par des voix sinueuses, allégoriques et symboliques un refus, une désertion, une lumière portée sur le monde où nous sommes jetés. C'est Volte en ré .. ’appellent se joignent s’enlacent s’embrassent sans nom la fureur la vengeance raser le monde-pris...
L’homo poeticus indique notre nature. Destinés à rêver, destinés à créer, destinés à aimer et à craindre, destinés à hanter le temps imparti et mourir enfin. apillon de jour bat les ailes de l’amour papillon de nuit souffle les bougies aimer comme pleurer...