a vie en masque, celle des rues, des places, des magasins est déjà un souvenir, et je m'en étonne, mais c'est comme ça. Voilà que je me souviens d'un homme masqué dont je remarquais évidemment les yeux. Pour s'aérer, il a baissé son masque et j'ai eu du mal à cacher ma surprise.
Les fenêtres de l'âme cachaient bien son corps. Le visage mou et buté ne correspondait pas du tout à l'éclat vif de ses yeux. Il y avait erreur, pour ne pas dire tromperie. A quand le masque transparent ?
Sans doute pas avant que mes quatre murs ne cessent d'occulter le reste.