les rêves aiment le sommeil en guerre
les rêves se cognent se froissent
à traverser le réel
la montée du jour incendie la rosée
la tendresse du drap
n’est plus pardonnée
raide exigence de la peur
sans pacemaker il faut se brancher
sur le monde électrique
une autre rosée noire postérise l’innocence
temps de codes
tant de codes
détourer la vie à mort
le vide forme la plénitude durable
les algorithmes marchent en cadence
rêves de fer et de feu là-bas