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Par alainLasverne le 26 Juillet 2014 à 13:09
Il est dans la nature du pouvoir d'être hiérarchique. Le pouvoir s'exerce sur. Le pouvoir jamais ne fait jouer sa puissance pour se dessaisir. Cette naturelle inclination du pouvoir à la hiérarchie construit une société frelatée, une humanité contrefaite.
Il ne promet pas d'être porteur et vecteur de qualités démocratiques élevées, d'être une forme choisie par une Histoire singulière et des aspirations particulières d'un peuple. Non, il est acteur aveugle, soumis à la force de qui le prend. Il a besoin juste d'un peuple sans qualités, prêt à toutes les aventures...
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Par alainLasverne le 21 Juillet 2014 à 09:48
Quand tout sera perdu, vous accueillerez la vie.
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Par alainLasverne le 16 Juillet 2014 à 12:48
Retour sur les statistiques fournies dernièrement par l'INSEE sous le titre « Les revenus et le patrimoine des ménages – édition 2014 », ou le récit apaisé d'une insupportable réalité.
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Par alainLasverne le 11 Juillet 2014 à 11:38
L'écriture suppose l'idée, ou l'idée suppose-t-elle l'écriture ? Quelques réflexions sur ces piliers du roman et leurs rapports. On débouchera, après quelques embardées, sur le style. Finalement, tout ça se tient, non ?
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Par alainLasverne le 7 Juillet 2014 à 11:19
a ville s'appelait Sable, elle était ocre
Parfois blanche sous les lueurs de nuit
Personne n'y était chez soi, chez elle
On la disait ville des morts, chez nousLes hommes grimés de mots dès naissance
Fils de nature n'en demeurent pas moins
Comme les poumons, voués à l'air pur
Dans les cycles, les senteurs, les odeurs
du marais pourrissant, de l'herbe lourde
Ils vivent et n'ont d'amante éternelle
Que celle qui ploie, grince et saigne enfin
Dans le vent du sud chaud et fécondLa rumeur est tenace qui répète
La ville à bout remâche les humeurs
Endormies et peureuses de la fin
Elle connaît celle qui attend sans hâte
De moi, de toi, de nous son tributNulle peur, nul vif, sous ses murs silence
La ville ocre est belle sous la lune
Sable, on l'appelait, dit-on chez nous
On l'appelait peu, car peu souhaitaient
Rejoindre la place où désir se fige
Aujourd'hui Sable, elle n'est plus, dit-onOn l'appelle comment, que je souris ?
Sable aurait disparu, englouti dans le
Sable, je ris, le sable ne mange pas de sableToujours là, hein, à la vérité ?
Toujours là, notre avenir, notre fin
Devant nous, sable toujours.
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Par alainLasverne le 2 Juillet 2014 à 11:41
Oui, mais le bruit d'une seule main qui applaudit ?...
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